
Cet itinéraire est simple du fait de son tracé, car il s'agit de toujours aller dans la même direction en marchant dans les deux principales voies de la ville : la promenade Alfonso X et la rue Trapería.
Monument à Alphonse X : statue en bronze fondu qui représente le Roi Sage, assis sur un trône. Elle a été effectuée en suivant la maquette que le sculpteur murcien Juan González Moreno réalisa originellement. Elle mesure 2,20 m et pèse près d'une tonne.
Tel qu'Alphonse X l'a lui-même souhaité, son cœur est enterré dans la cathédrale de Murcie, montrant ainsi la grande affection qu'il vouait à la ville.
Couvent de Santa Ana : ce que l'on peut contempler aujourd'hui date du XVIIIe siècle, mais il s'agit du troisième temple depuis que le couvent a été fondé en 1490. Il s'agit d'un couvent cloîtré dominicain. Il est recommandé au visiteur d'acheter à l'entrée les gâteaux que font les religieuses. L'église propose un culte ouvert au public. Sur son retable principal, vous pouvez voir une spectaculaire sainte Anne réalisée par Salzillo.
Santa Clara la Real : Cet édifice a été construit en réutilisant une partie de la structure de l'alcazar Seguir, palais musulman du XIIe siècle. De ses différentes phases constructives ressortent le cloître et une partie de l'église gothiques, du XVe siècle, ainsi que l'église baroque du XVIIIe siècle. À l'intérieur du couvent se trouve le musée de Santa Clara, avec une section consacrée à l'art sacré et une autre, à l'archéologie d'al-Andalus.
Real Casino : Bâtiment éclectique du XIXe siècle, réalisé entre 1852 et 1892 en plusieurs étapes successives. Se distinguent particulièrement le patio arabe, la bibliothèque, le boudoir des dames, le patio pompéien et les salles de danse et de billard. Dispose d'un service d'audioguides.
Cathédrale de Santa María : XIVe-XVIIIe siècle. La cathédrale est une pièce-clé du baroque espagnol. Il s'agit de l'édifice monumental le plus important de la ville, une grande synthèse des trois principaux styles artistiques avec lesquels il a été construit : gothique, Renaissance et baroque.
La cathédrale s'élève et occupe le même terrain que la principale mosquée arabe de la ville.
Brillant résumé des styles architecturaux de plus de cinq siècles. Quatre joyaux ressortent dans ce fabuleux trésor : la façade retable baroque (imafronte en espagnol), la chapelle gothique des Vélez, la chapelle Renaissance de Junterón et son emblématique tour de quatre-vingt-seize mètres de haut (qui remplaça l'ancienne tour médiévale) et aux vingt-cinq cloches. Curieuse superposition de styles et très beau point culminant qui domine la ville et la huerta.
Monumento a Alfonso X
Convento de Santa Ana
Santa Clara la Real
Casino
Catedral de Santa María

Pour cet itinéraire, il est recommandé d'utiliser une carte de la ville.
PARTIE I
Église de San Andrés : ancien couvent de saint Augustin, très lié à l'histoire de la ville. Achevée vers 1689, elle héberge en son intérieur la chapelle de la Vierge de l'Arrixaca, ancienne patronne de Murcie, différenciée comme s'il s'agissait d'une église à l'intérieur d'une autre église ; il a fallu l'installer ailleurs une fois le chantier de l'actuel plan terminé. L'église présente d'importantes œuvres de Salzillo : saint André et saint Roch.
Église de Jesús : de forme octogonale, a été érigée vers 1670 et achevée à la fin du XVIIe siècle en tant qu'église propre de la confrérie de Jésus. C'est un véritable théâtre conçu pour montrer les mystères de la passion. Salzillo réalisa pour l'enceinte les célèbres étapes processionnelles du matin du Vendredi saint, obtenant une scène harmonieuse entre architecture et sculpture. Dans les tribunes, les peintures originales de Pablo Sístori, de 1792, sont encore conservées.
Église d’Agustinas Descalzas : le couvent raconte l'histoire d'une communauté établie en 1616 par un groupe de moines venus d'Almansa. L'église est dominée par un important retable, érigé vers la moitié du XVIIIe siècle pour héberger l'image de saint Augustin, le fondateur de l'ordre, une monumentale sculpture de Salzillo.
Une autre œuvre, d'un grand charme, qui se trouve à l'intérieur, est Santa Cecilia de Roque López, une version singulière de la protectrice de la musique accompagnée d'un organe domestique.
Église de San Nicolás : cette église, très spacieuse, possède une grande richesse constructive. Ces nombreux éléments ornementaux donnent une plus grande impression de baroque.
À l'intérieur, le retable principal s'ajoute également au faste de l'église, qui conserve, en outre, des sculptures importantes des XVIIe et XVIIIe siècle de Salzillo, Alonso Cano et de Pedro de Mena.
Église de San Pedro : cette église est plus petite que les précédentes. Elle compte sur une importante fonction ornementale en ce qui concerne son mobilier liturgique, notamment celui de sa chapelle principale, dont la famille Saavedra exerçait le patronage, et par un retable monumental, œuvre de Nicolás de Rueda avec des sculptures de Salzillo et de Roque López. La niche montre l'image du titulaire, réalisée par Salzillo.
Église de Verónicas : l'ancienne église de San Salvador, actuellement transformée en salle d'expositions, fut le siège d'un couvent originel de religieuses franciscaines consacré à sainte Véronique. Le frontispice, achevé en 1755, offre une solution magistrale dans la disposition de ses éléments obliques et dans le pouvoir de sa corniche, grâce à l'adaptation de la conception à un espace d'une contemplation aussi difficile que celui de l'étroite rue sur laquelle elle s'ouvre.
PARTIE II
Église de San Miguel : d'origine médiévale, a connu de profondes rénovations jusqu'au XVIIIe siècle. Préservée des destructions et transformations postérieures, l'intérieur est un reflet de la splendeur donnée aux temples murciens au XVIIIe siècle tant par l'unité formelle de ses retables que par l'éclat de ses architectures dorées. Toute l'église est une vitrine pour la sculpture de Francisco Salzillo, répartie dans tout l'édifice.
Église de Santa Clara : appartient à l'ensemble de Santa Clara la Real qui a connu diverses transformations qui ont fait du couvent un noyau artistique de premier ordre. Les transformations menées à bien entre 1744 et 1748 ont revêtu l'église de retables et de gypseries qui lui ont donné l'actuel aspect fastueux et la nouveauté de son grand baldaquin.
Église de Santo Domingo : la singularité de l'église, unie à la chapelle du Rosario (XVIe siècle) et ouverte sur deux côtés de la ville encouragea à ce qu'elle eut deux façades dans ses extrémités : une à l'ouest, face au théâtre Romea, et l'autre érigée en briques vers la place de Santo Domingo, (qui est une fausse façade dont la mission est de donner un couronnement monumental à l'espace ouvert de la place).
Église de Santa Ana : fondée en 1490, eut une église originelle érigée en 1611, dont est conservé son vieux retable principal, aujourd'hui dédié à saint Michel. L'actuelle église fut bâtie en 1731, son célèbre retable principal est l'œuvre de José Ganga et l'ancienne niche héberge le groupe sainte Anne enseignant la lecture à la Vierge, œuvre de Salzillo.
Église de la Merced : cette église présente une grande collection de sculptures, tant sur sa façade qu'à l'intérieur. Le retable principal fut érigé en 1744 selon les schémas de Jaime Bort sur la façade principale de la cathédrale. Remarquer les sculptures de Nicolás Salzillo, ainsi que le tableau de Senén Vila.
Église de San Juan Bautista : Sa construction débuta en 1750. L'importance symbolique de son autel est mise en valeur grâce à un baldaquin monumental.
Outre le vénéré Cristo del Rescate, l'église conserve des œuvres remarquables : San Isidro Labrador de Salzillo, Santa María de la Cabeza de Juan Porcel et les stalles du chœur du XVIIIe siècle.
Église de San Juan de Dios : bâtie à partir de 1764. Sa forme elliptique s'adapte parfaitement aux objectifs de sa fondation : l'adoration du sacrement dans un célèbre ostensoir. À l'heure actuelle, c'est un musée qui dispose d'importants vestiges arabes au sous-sol.
Église de Santa Eulalia : tracée en 1765, elle présente une des façades les plus dynamiques de toute l'architecture religieuse de Murcie. Pablo Sístori peignit les retables en perspective de la chapelle principale et le transept selon la technique du trompe-l'œil. Cette église qui offre plusieurs sculptures de Salzillo, dans le voisinage où s'élève la chapelle de saint Joseph.
IGLESIA DEL CARMEN
IGLESIA DE SAN JUAN DE DIOS
IGLESIA DE SAN JUAN BAUTISTA
IGLESIA DE SANTA EULALIA
IGLESIA DE LA MERCED
IGLESIA DE SANTA ANA
IGLESIA DE SANTO DOMINGO
IGLESIA DE SANTA CLARA
IGLESIA DE SAN MIGUEL
IGLESIA DE AGUSTINAS DESCALZAS
IGLESIA DE JESÚS
IGLESIA DE SAN ANDRÉS
IGLESIA DE SAN NICOLÁS
IGLESIA DE VERÓNICAS
IGLESIA DE SAN PEDRO

Cet itinéraire suggère la visite de quatre bâtiments remarquables par leur architecture et actuellement reconvertis en centres dans lesquels il est possible de profiter de diverses manifestations culturelles.
Musée de la ville : le bâtiment date du XVIe siècle et est l'ancienne maison de la famille López Ferrer. M. Gil Rodríguez de Junterón, protonotaire du pape Jules II et archidiacre de Lorca, ordonna la construction de ce bâtiment original. Il possède un potager d'origine hispano-musulman et conserve encore l'ancienne entrée pour les voitures hippomobiles. Il parcourt, d'une façon très interactive, l'histoire de la ville depuis ses premières installations jusqu'à aujourd'hui.
Église de San Esteban : réalisée au XVIIe siècle, c'est l'église du collège des jésuites de saint Étienne. Le frontispice a été construit entre 1557 et 1570 et correspond au schéma d'« arc de triomphe », sur lequel sont installés à la fin du XVIIIe siècle les sculptures de saint Ignace et de saint François-Xavier. À l'intérieur se conserve le tombeau de l'évêque Esteban de Almeyda, mais il n'est actuellement pas possible d'y accéder. C'est le siège processionnel de la confrérie du Santísimo Cristo de la Misericordia (Très Saint Christ de la Miséricorde), qui défile l'après-midi du Vendredi saint.
Musée Ramón Gaya : bâti au XIXe siècle et transformé en musée de l'artiste en 1990 à partir de la rénovation de la Casa Palarea. Il est formé par l'union de deux bâtiments qui conservent la structure caractéristique des maisons urbaines du XIXe siècle et situé sur une des places de plus grande tradition de Murcie. À l'intérieur, vous pouvez parcourir l'intéressante vie artistique du peintre et écrivain Ramón Gaya grâce aux 500 œuvres qui composent la collection.
Palais Almudí : érigé au XVIIe siècle et attribué à Pedro Monte de la Isla. Construit entre 1602 et 1628. Il fut un bâtiment public consacré au stockage du grain provenant de la dîme, et c'est pour cette raison qu'il reçoit aussi le nom de grenier communal de blé. Restauré en 1985 pour les archives municipales et le centre d'art, il faut souligner le relief de la matrone de la façade et le patio des colonnes à l'intérieur.
Il compte sur un intéressant programme d'expositions, la plupart liées à l'art contemporain.
Museo de la Ciudad
Iglesia de San Esteban
Museo Ramón Gaya
Palacio Almudí

Suivant les pas de l'étape arabe, qui a tant influencé l'actuel tracé de la ville, il est possible de visiter certains tronçons de la muraille de défense qui fut construite pour protéger Murcie des attaques des Chrétiens.
Alcazar Seguir : les vestiges architecturaux les plus monumentaux appartiennent à l'alcazar Seguir ou alcazar mineur des émirs murciens et qu'il est possible, aujourd'hui, d'en visiter la plus grande partie à l'intérieur du musée Santa Clara la Real. Il s'agit d'un palais fortifié construit à la moitié du XIIIe siècle sur les ruines d'un autre palais daté du XIIe siècle. Dans le musée sont conservés le salon avec chambres à coucher et le portique nord, richement décoré de gypseries polychromes et d'arcs polylobés monumentaux. Certaines ruines de cet alcazar (celles appartenant au salon sud et à la coursive ouest) ont été conservées et il est possible de les visiter au sous-sol et dans la salle d'expositions du centre culturel Las Claras, annexe au musée et à l'église de Santa Clara.
Muraille de Verónicas : tronçon méridional de la muraille qui date du XIe au XIIIe siècle. Le chemin de ronde et la barbacane sont conservés à l’air libre, en hauteur, entre deux tours de la muraille (l’une d'entre elles adossée au centre d'art église de Verónicas). À l'époque, le tracé de la muraille se servait du lit du fleuve Segura comme douves de défense, rendant difficile le siège et la prise de la ville.
Il s'agit du tronçon de la muraille qui peut le plus rendre compte de l'importance défensive de celle-ci. C'est aussi une scène idéale à l'abri de laquelle diverses activités telles que des concerts sont réalisées.
Cafétéria La Muraille : dans cet établissement hôtelier connu, un tronçon considérable du rempart est conservé, ainsi que plusieurs tours de la muraille construites avec un solide mur de pisé en béton. Il est intéressant de mentionner que le niveau de circulation du XIIIe siècle a été respecté.
Centre des visiteurs La Muralla de Murcia : situé sur la place de Santa Eulalia, ce centre conserve un tronçon de la muraille médiévale qui entourait la ville de Murcie, ainsi qu'une des portes qui fut utilisée durant des siècles comme accès à celle-ci : la porte de Santa Eulalia. Après avoir contemplé les vestiges des constructions défensives, le visiteur pourra se rapprocher de l'évolution urbaine de Murcie depuis sa fondation par Abderramán II en 825.
ALCÁZAR SEGUIR
MURALLA DE VERÓNICAS
MUSEO DE LA CATEDRAL
CAFETERÍA LA MURALLA
CENTRO DE VISITANTES LA MURALLA DE MURCIA

ROUTE GASTRONOMIQUE
Place Romea
Il s'agit d'un des lieux les plus centraux de la ville, entouré des palais Vinader et de González Campuzano, du théâtre Romea et d'une des façades de l'église de Santo Domingo. Il s'agit d'un centre culturel et commercial de la ville où vous trouverez (à côté de la place de Santo Domingo et des rues Alfaro et González Adalid) un lieu idéal pour faire une halte à une des terrasses, restaurants, bars ou cafétérias et goûter un riz exquis, de la charcuterie et une grande variété de tapas, d'apéritifs et de plats.
Place de Las Flores
Sur deux des places les plus joyeuses et typiques de la ville, Santa Catalina et Las Flores, et entre les rues Arzobispo Simón López et Ruipérez, et les places de San Pedro et Mayor, vous trouverez un grand nombre de terrasses, bars et restaurants parfaits pour manger des tapas, ainsi que pour déguster des spécialités murciennes typiques : la tourte à la viande (qui date du XVIIe siècle), la marinera (salade russe et anchois sur un gressin), le matrimonio (anchois fumés et frais), le zarangollo (plat à base de courgettes, d'oignons tendres et d'œufs), les michirones (plat à base de fèves sèches, jambon, chorizo et de lard), la pomme de terre cuite avec de l'ail, et toute une gamme de mets imaginatifs, fritures, salaisons, charcuterie ibérique et de produits du potager et de la mer.
Place Belluga
Autour des places de Belluga et Los Apóstoles, et dans les rues adjacentes se trouvent de nombreux bars, restaurants, brasseries et tavernes où profiter de la cuisine nationale et internationale, mais surtout d'un assortiment de tapas chaudes et froides. Nous vous recommandons de vous asseoir à une des terrasses de la place de Belluga et savourer un café, un chocolat ou une bière tout en admirant le baroque spectaculaire de la cathédrale.
Place San Juan
Elle est dominée par l'église de San Juan de Dios et située dans un des quartiers les plus populaires de Murcie (ancien quartier juif). La très fréquentée place de San Juan, la place de Cristo del Rescate et la rue Cánovas del Castillo rassemblent de nombreuses terrasses et restaurants offrant une gastronomie variée, de la cuisine internationale et du marché à la cuisine traditionnelle murcienne à base de légumes, plats mijotés, brouillades, ratatouille, grillades, produits dérivés du cochon, etc.
PLAZA ROMEA
PLAZA DE LAS FLORES
PLAZA BELLUGA
PLAZA SAN JUAN

Itinéraire qui combine à la perfection histoire et nature. Pour le réaliser, il est nécessaire d'utiliser son véhicule.
Centre des visiteurs El Valle : offre des informations sur l'environnement et présente les principales valeurs de la faune et de la flore du parc, ainsi que sa géologie et les fossiles marins découverts dans cette région.
Centre de récupération de la faune : le parc El Valle, déclaré Zone de protection spéciale pour les oiseaux, compte sur un centre de récupération des rapaces et des espèces protégées. Très près du centre se trouvent l'arboretum, une ancienne pépinière forestière, devenue aujourd'hui un jardin botanique qui permet de connaître la diversité végétale de toutes les régions climatiques de la planète.
Centre des visiteurs San Antonio El Pobre : la paix et la solitude de ces sites ont attiré les ermites depuis le début du Moyen-âge. Cet ermitage baroque prend son nom de San Antonio Abad, fondateur de la vie érémitique. Vous pouvez y voir la grotte percée dans la montagne qui servit d’abri à l'ermite Jean le Pauvre au XVIe siècle.
Très près de là se trouve le couvent de Santa Catalina del Monte, un ensemble architectural composé du couvent franciscain, du palais épiscopal d'été, du jardin et du potager.
Centre des visiteurs de La Luz : exposition permanente consacrée à la connaissance de la culture ibère (rites funéraires et cultes religieux), à la grande tradition religieuse de la région et un espace consacré à la grande tradition montagnarde murcienne (avec des vues spectaculaires depuis ses terrasses panoramiques) et un service de cafétéria.
Dans cette enclave se trouvent les vestiges archéologiques ibères d'un temple dédié à la déesse Déméter, les ruines de la tour du château arabe de La Luz, du XIIe siècle, qui occupait la quasi-totalité de la colline et le monastère de La Luz, construit afin de rassembler dans un monastère commun les anachorètes qui vivaient dispersés dans les environs.
Sanctuaire de la Vierge de la Fuensanta : fut érigé entre 1694 et 1711, sur initiative du chapitre de la cathédrale de Murcie. Le temple, de style baroque, contient des reliefs, des sculptures de González Moreno, des peintures et des fresques de Pedro Flores. Sur le frontispice, les bas-reliefs et la figure centrale sont l'œuvre de Jaime Bort, le même auteur que pour la façade principale de la cathédrale. Il s'agit d'un lieu très visité tout au long de l'année.
La Panocha : dans les zones hautes de la chaîne de montagnes de la Cresta del Gallo existe une formation de murs compacts pour l'escalade, connue sous le nom de la « Panocha » (523 m), un monticule rocheux qui offre toutes les difficultés de l'escalade classique, lieu emblématique de l'alpinisme murcien, berceau et école d'escalade des montagnards murciens.
CENTRO DE VISITANTES EL VALLE
CENTRO DE RECUPERACIÓN DE FAUNA
CENTRO DE VISITANTES SAN ANTONIO EL POBRE
CENTRO DE VISITANTES DE LA LUZ
SANTUARIO DE LA VIRGEN DE LA FUENSANTA
LA PANOCHA